Ryan Gordon, divorcé et au chômage. Il perdu la garde de sa fille et n'avais plu d'elle que huit dessins. Un jour il se fut fait voler la malette qui les contenait part des enfants en VTT, La légende raconte qu'il aurait cherché une sorcière et aurait passé un pacte avec celle-si. Le pacte, stipulai qu'elle devait lui ramener les dessin et en échange il lui donnerait sont âme, malheureusement pour ryan les dessins lui étaient revenus raturés par les petits voleurs, furieux il décida de ne pas respecter sa part du contrat, ce qui mit la femme dans une colère folle et priva l'homme de sont visage et de ses sens. Affolé il finit part accepter, malheureusement un peux tard. La sorcière rancunière décida de lui rendre ses sens mais pas son visage et lui précisa qu'elle avait caché les dessins dans la forêt. Ryan partit donc à la recherche de ses seuls souvenirs de sa fille. Mais en cherchant les dessins il tomba nez à nez avec les petit malin qui lui avait prit sa malette, son sang ne fit qu'un tour, il perdit le contrôle de son corps et massacra les gamins.
Après avoir été reveillée en sursaut par une secousse,la jeune fille resta couchée sur sont lit encore quelque secondes, avant de se pencher pour allumer sa lampe de chevet. En actionnant la main vers l'interrupteur, elle essaya de rassembler des pensées, et de comprendre la nature de ce qui l'avait tirée de sa douce torpeur. Comme elle n'y parvenait pas, la brune se leva du matelas et saisit sont télépone portable. Lorsqu'elle jeta un oeil à l'heure, elle poussa un petit grognement. Il était minuit, l'heure du crime. Sachant que le someil ne reviendrait pas avant un moment, elle quitta la chambre pour la cuisine en poussant une soupir, avec la ferme envie d'une bonne tasse de café. Mais alors qu'elle passait devant sa porte d'entrée, un désagréble frisson lui parcourut l'échine. Ce n'est que l'hiver, pensa-t-elle, avant de poursuivre son chemin.Elle prépara donc la cafetière, sortit une tasse et une cuillère, mais alors qu'elle achevait de mettre l'engin en marche, un frisson la saisit. Instinctivement, elle se tourna vers la porte d'entrée. Mais à son grand soulagement, tout était calme, et la porte n'avait pas bougé d'un pouce, le verrou étant toujours en place. Retournant vers son café en haussant les épaules, elle fit de son mieux pour oublier cette désagéable sensation.
Sa tasse en main,elle rembroussa chemin vers la chambre. En repassant devant la porte d'entrée,elle s'arrêta un bref instant, prise d'un doute. Avec hésitation, elle décida de risquer au moins un oeil dans le judas, pour se rassurer. A mesure qu'elle s'approchait du battant, le frisson qui l'avait reprise à cette idée se faisait plus intense, et semblait avaler la chaleur de la moquette. La jeune fille pressa sa main contre la porte de métal froid, prit une grande inspiration, et regarda par le judas.
Au début, elle ne put
voir qu'un noir d'encre qui semblait tourbilloner sur lui-même.Mais quand elle cligna de surprise le vide sombre avait disparu. Et elle aurait souhaité qu'il soit toujours là. A la place de ce néant rassurant se tenait une silhouette humanoïde et élancée, dont l'apparence était à peine discernable dans la pénénombre. Les jambes de la chose était longues et étrangement inhumaines, quant à ses bras, il était mis en valeur par le costume noir de jais que portait l'homme, et par son visage. Du moins, si ce qui apparaissait à travers le judas pouvait être qualifié de visage. Pas d'yeux, ni de bouche, ni d'oreille. Une simple face d'un blanc laiteux et luisant, sans aucun trait, comme si la réalité elle-même avait flouté ce qui ce cachait derrière cet écran immaculé.
Terriffiée par cette vision, la jeune fille s'éloigna de la porte, la main pressée contre sa bouche pour s'empécher de crier. De l'autre, elle lâcha la tasse de café qui tomba au sol dans un fracas, le liquide bouillant lui brûlant les jambes alors qu'elle tembait en arrière et rempait à reculons, le plus loin possible du battant. Elle savait que son mental ne lui jouait pas des tours. Elle l'avait vu, cet homme rachitique et monstrueux. Alors que la jeune gille se retrouver dos au mur, elle tanta de ce calmer les battements de son coeur, puis regarda la porte, et tendit l'oreille pour tenter d'appréhender ce qu'il se passait de l'autre côté. Elle était partagée entre le besoin de fuir, et celui de ne pas se retrouver dos à la porte. Quand finalement, elle entendit le verrou s'activer, le besoin de fuir l'emporta. Mais alors qu'elle se relevait et commençait sa course effrénée, elle glissa sur le café brûlant répandu au sol.
Le battant s'ouvrit dans un grincement. Elle me pouvait plus fuir, et elle le savait. Dans une pitoyable tentative de s'emn sortir, elle hurla et recula à toute vitesse, heurtant violemment le mur et tombant sur le menton. Alors que sa vision se floutait, elle vit les jambes de l'être s'avancer lentement au-devant de la porte. Puis il n'y eut que ténèbres.
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"nicole?"
Une douce voix masculine sortit la femme de son sommeil. Alors qu'elle se retournait, elle fut aceuillie par le sourire du médecin. Elle hocha la tête, ignorant si elle devait dire quelque chose, ou même si elle le pouvais, tant la situation l'avait affectée. Ce matin-là, elle avait reçu un appel urgent de l'hôpital, lui annonçant que sa soeur, Lindsay, y avait été amenée, inconsiente. Avant d'avoir pu aller lui rendre visite, le docteur l'avait prise à part et avait insisté pour lui demander ce qui aurait pu arriver. Nicole s'était trouvée incapable de répondre, mais le médecin avait employé des mots comme 'auto-infligée' et 'assaut' pour expliquer la situation devant l'incompréhension totale de sont intelocutrice.
Mais elle ne saisit que lorsqu'elle finit par voir sa soeur de ses propres yeux. Lindsay, sa petite Lindsay avait un bandage à la tête, couvrant ses yeux et ses oreilles. Le personmel, devant le regard de Nicole, informat cette dernière que ces précautions avait été prises pour que ses yeux soignés ne séchent pas, et pour prévenir les risque d'infection sur les plaies que la jeune fille s'est faites aux oreilles. les docteurs théorisèrent qu'elle, ou quelqu'un d'autre, avait planté un stylo à l'intérieur de ses tympans pour perturber sont équilibre, ou pour l'empêcher de se defendre contre quelque choses. Elle avait des brûlures aux deux premiers degrés sur les mains, les jambes et les pieds, probablement dûes au café que les voisins avaient trouvé par terre lorsqu'ils étaient arrivés.
Mais lors que Nicole marchait de long en large dans la chambre d'hôpital de sa soeur, préoccupée par ces révélations, elle crut apercevoir la silhouette floue et longiligne d'un homme à la fenêtre. Elle ne s'en inquiéta pas immédiatement, mais après quelques secondes, une évidence la frappa. Il était impossible que quiconque de tînt derrière la vitre, la chambre était située au troisième étage de l'établissement.
PS: L'origine n'est qu'une histoire potentielle du slenderman je ne dit pas que c'est l'origine absolue ;)
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